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#Management & leadership

Les 5 pitiés à éviter en tant que manager – Conseils et astuces !

pitiés à éviter en tant que manager
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Le travail de manger est très difficile, mais vous êtes payé en conséquence. « A celui qui a reçu assez, on va lui en demander assez ». En effet, il y a des conditions à remplir pour devenir un vrai manager. Posez-vous la question de savoir : est-ce que vous remplissez les conditions ? 

Ceux qui ont un bon système ne souffrent pas quand il y a de nouveaux enjeux, même quand il s’agit d’intégrer de nouveaux stagiaires, il n’y a pas de défi, car le système est déjà huilé. 

 

La pitié d’être au four et au moulin

Le manager doit veiller aux grains, avoir les yeux rivés partout. Vous devez connaitre le fonctionnement de chaque élément dans votre équipe. 

 

La pitié d’être incompris…

Il ne faut pas vivre mal le fait d’être incompris. Comme on dit : « seul le résultat donne du pouvoir », quand les gens travaillent et ne voient pas encore l’aboutissement, ils sont parfois déçus, mais vous en tant que manager, soyez fier d’être incompris, car vous savez ce que vous leur délivrez et offrez aux collaborateurs. 

Quelques fois, il arrive que vous imaginiez quelques réalisations dans votre tête, puisque vous êtes le seul à comprendre pour l’instant, vous expliquez à un collaborateur et celui-ci n’est pas à la hauteur, cela ne doit pas vous surprendre. Si vous comprenez les enjeux pour lesquels vous faites des actions, alors vous êtes en train d’optimiser le dispositif de production de résultats. Ce qui veut dire que vous ne prenez pas cela personnellement quand vous êtes incompris : à la fin c’est le résultat qui donne du pouvoir et vous devenez crédible. 

 

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La pitié de devoir travailler plus

Vous êtes payé pour ça. À partir du moment que vous ne pouvez pas démissionner, il faut travailler à devenir meilleur. Si vous vous plaignez trop de la pression, de la dureté de la concurrence, dans ces cas-là : vous êtes dans la dichotomie managériale. Ceci dit : n’ayez pas pitié de vous-même, travaillez plus et davantage. Quand vous dites que vous êtes bon au 21ᵉ siècle, le pion vous sera damé très rapidement, c’est ce que font les catalyseurs de résultats à cœur-joie, car le travail devient excitant quand vous comprenez les enjeux. Vos réalités managériales ne doivent plus vous surprendre, c’est du pareil au même dans tous les autres secteurs d’activités, la pression et les enjeux seront toujours présents. 

 

La pitié de l’étouffement opérationnel

Un manager qui ne fait pas le suivi sera surpris, il doit mettre les pieds dans les plats aussi longtemps qu’il faudra, tant que vous n’avez pas un système et une équipe qui tournent bien, vous devez être au four et au moulin. De surcroit, être flexible et impliqué jusqu’à ce que le système prenne, le job du manager est un éternel recommencement. 

 

La pitié du poids de la responsabilité solitaire

Il n’y a qu’une personne qui répondra des résultats de l’équipe, c’est vous manager et vous seul. Quand vous êtes au CODIR en train de vous faire accabler ou acclamer, les collaborateurs ne sont pas là et vous revenez leur dire qu’ils ont fait du bon boulot. Quand il y a du mérite, vous recevez la plus grande partie, donc ce que vous subissez est proportionnel à votre mérite. 

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