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RH & dirigeant : 5 types de démissions qui ne devraient pas vous choquer

types de démissions qui choquent les DG et HR
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Pour de nombreux managers, recevoir la démission d’une personne de son équipe peut provoquer un choc, encore plus si ce collaborateur est un excellent élément. C’est tout à fait compréhensible surtout si c’est une personne que vous avez vu gravir les échelons dans votre entreprise. Cependant, il y a des démissions qui sont compréhensibles et ne devraient pas vous choquer en tant que manager du capital humain. Dans cet article, découvrez les types de démissions et de départ qui ne devraient pas vous choquer en tant que RH & dirigeant. 

 

Les gens partent parce qu’ils ont mieux ailleurs  

Continuez à travailler pour leur offrir ce mieux. En général, les concurrents savent combien vos employés sont payés, ils proposent une offre plus intéressante que la vôtre. Dans ce cas, il faut se poser la question de savoir si vous voulez que ce collaborateur parte ou non ? Il peut arriver que l’organisation veuille qu’il parte, là vous ne ferez pas vraiment d’efforts.  

Si vous voulez le garder, vous devez regarder les propositions de votre concurrent, vous négociez avec lui. Alors si l’élément est très pertinent pour votre business, il faut négocier. S’il tient à votre culture et à votre entreprise, et vous lui montrez votre désir d’être avec lui, il va rester avec vous.  

 

Le collaborateur a besoin de nouveaux challenges 

C’est mieux qu’il parte que de s’ennuyer ou de déprimer. Par exemple un auditeur qui gère deux sociétés, on décide de diviser les deux sociétés, ils se retrouvent à gérer un seul portefeuille. L’effectif et les flux financiers qu’il doit gérer sont très restreints. Conséquence, il commence à s’ennuyer après quelques semaines. Il est obligé de partir parce qu’il veut des enjeux un peu plus élevés que ce qu’il a maintenant.  

Par conséquent, si quelqu’un est arrivé à un niveau de saturation et que la taille de votre organisation ne peut plus le contenir, il faut accepter et le laisser partir. Parce qu’il n’aura pas envie de venir travailler chaque jour et fera les tâches sans aucune motivation. 

 

Lire aussi : Manager les départs et démissions : astuces et bonnes pratiques !

 

Le collaborateur doit changer d’orientation de carrière 

Il n’a donc pas décidé contre vous. Par exemple, un financier qui veut gérer une ligne de financement ailleurs. Sachez que cette décision n’est pas contre vous. Il a peut-être décidé de faire ce qui le passionne. Il faut se rendre à l’évidence et accepter de le laisser partir même s’il est un élément très important de votre dispositif.  

 

Vous êtes incapable d’honorer vos engagements  

Ça arrive souvent pour beaucoup d’organisations. La plupart des organisations disent des choses, mais ne le font pas. Conséquence, les collaborateurs ne veulent plus se tuer à la tâche. Et quand on n’honore pas ses engagements, cela peut créer de la frustration. Quand vous allez vous retrouver dans des situations compliquées, ils ne seront pas disposés à vous aider. Et dans ce cas, la solution pour eux c’est de vous quitter.  

 

Les gens n’arrivent pas à suivre le rythme  

Il faut vous arrêter et vous demander si vous donnez les bons outils à vos collaborateurs, et pourquoi n’arrivent-ils pas à suivre le rythme. Le rythme peut être tellement rapide et stressant qu’ils peuvent ne pas pouvoir vous suivre. Et ils décident d’aller voir d’autres horizons plus adaptés à leurs aspirations.  

Ce n’est pas un défi, il faut faire une introspection de vos collaborateurs, pour voir ceux qui ne suivent pas le rythme et chercher à savoir de quoi ils ont besoin pour être aligné sur votre rythme et votre façon de faire les choses.  

RH

 

La rédaction  

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