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Les 4 obligations décisionnelles du dirigeant en 2024

obligations décisionnelles du dirigeant 
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De la même façon qu’on dit qu’un dirigeant doit obligatoirement produire du résultat, un leader doit obligatoirement décider aussi. Il ne peut pas fuir le besoin, l’exigence, l’obligation pour lui de devoir décider. Parfois, il peut arriver qu’on soit amené à ne pas vouloir décider. Nous allons voir ici en matière de prise de décision et la responsabilité de décider la différence entre le commun des mortels et le dirigeant. Comment le commun des managers apprécie les situations qui existent qu’on puisse décider et quelle est la différence majeure que le dirigent fait. Voyons ces obligations dans cet article.  

Là où le commun des mortels fait ce avec quoi il est à l’aise, le dirigeant lui, il va faire ce qui produit du résultat  

Le dirigeant ne fait pas ce avec quoi il est à l’aise, il ne fait pas ce qui va le satisfaire, ce qui va satisfaire les gens. Il se pose essentiellement la question de savoir : “sachant la situation que nous avons en face de nous, le profil que nous avons en face et les rapports de force, les options qu’on a sur la table, quel est le mécanisme à activer pour augmenter les chances de pouvoir produire du résultat.” Il va donc se concentrer sur l’obligation de produire du résultat même si ça va lui faire mal.  

 

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Là où le co mmun des mortels fait ce qui est bon pour soi, le dirigeant est obligé de faire ce qui est bon pour le business  

La question la plus importante lorsqu’on doit décider en tant que dirigeant, c’est de savoir “Qu’est-ce qui est bon pour le business ? Qu’est-ce qui permettra d’augmenter les lignes du bilan et compte d’exploitation, qu’est-ce qui permettra de générer plus de valeurs, protéger cette valeur et la multiplier. Il est obligé de faire ce qui est bon pour les busines et ce qui va produire du résultat. 

 

Le commun des mortels va mélanger les sujets, va associer les émotions, confondre ce qui est un fait et une conséquence. Le dirigeant va faire du processing et séparer les sujets 

Le dirigeant ne mélange pas ses difficultés personnelles avec une personne. Par exemple, s’il doit décider si oui ou non, il faut licencier ou promouvoir un collaborateur, s’il a des difficultés relationnelles avec le collaborateur, ça ne compte pas. Il ne mélange pas ses comptes personnels à régler avec ses collaborateurs et le fait que ce soit lui qui remplisse les conditions pour être promu ou pour être licencié. Ce n’est pas parce qu’il aime un collaborateur et qu’ils ont de bonnes relations, que s’il faut se séparer de lui, il ne va pas le faire. Il y a 2 sujets complétement différents, sa relation personnelle avec lui et le fait qu’il ne délivre pas assez de résultats. Et on a dit que ceux qui ne délivrent pas du résultat à un certain niveau, on va se séparer d’eux.  

 

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Là où le commun des mortels a tendance à fuir la douleur, le dirigeant a l’obligation de faire face courageusement, se mettre en perspective, assumer et assurer du résultat 

Il faut décider courageusement parce qu’on dit ce qu’il sent n’a pas d’importance, il n’a pas besoin d’être à l’aise. Le courage n’est pas l’absence de la peur, mais c’est la capacité à agir malgré la peur.  Ce qui veut dire que même s’il n’est pas à l’aise, il doit se poser la question de savoir quel est l’objectif à atteindre. Il doit assumer la responsabilité d’opérer les choix permettant d’atteindre cet objectif malgré la douleur, les peurs qu’il a.  

Il doit se battre pour opérer exactement le type de choix qui va permettre de délivrer les résultats escomptés.  

Propos recueillis par SUZANNE BATISTA  

Tirés de la certification Parcours Dirigeant  

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