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Dr GAKOU Mohamad, un serial entrepreneur multipotentiel

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Dr Mohamad GAKOU, serial entrepreneur originaire du Mali est un homme d’affaires multipotentiel doté d’un sens du business hors du commun. En plus d’être un passionné de stratégies et de planification, il évolue dans plusieurs domaines tels que l’agro-alimentaire, l’éducation, la santé pour ne citer que ceux-ci. Il a baigné dans le milieu des affaires depuis sa tendre enfance d’où sa science et sa capacité à dénicher, et à saisir des opportunités d’affaires sur un marché se manifestant par l’excellence de ses résultats. 

 

Il est le Directeur Général d’Institut des Sciences Politiques Relations Internationales et Communications (ISPRIC), le Directeur Général de Complexe Scolaire et universitaire GAKOU (CSUG), et le Président Directeur Général de Nexus Holding composé de Nexus Trading, Nexus Technologie, Nexus Medical et Nexus Fashion. 

Il est également Gérant Associé du Cabinet International de Coaching et d’appui au Développement des Entreprises (CICADE) et le Président du conseil d’administration de la Société Industrielle Africaine (SIA). M. Gakou est aussi consultant pour OMC, Union Africaine, CEDEAO, ITC, Agence pour la promotion des exportations (APEX MALI). 

Dr Gakou est titulaire d’une licence en Gestion des entreprises, un master en Marketing et ingénierie d’affaires, et depuis 2017, un doctorat en Business Administration du Business Science Institute (BSI) Luxembourg et CESAG/DAKAR. Ses recherches ont porté sur « Les parties prenantes dans la pérennité des Établissements Privés d’Enseignement Supérieur ». 

Il fait partie de ceux qui pensent qu’il y a un gros manque de magasins séculaires en Afrique. En effet, les choses ont besoin d’être structurées et vont au-delà de la gestion banale selon lui. D’après lui, nous avons tout dans notre environnement. Sa compréhension, sa maîtrise, les opportunités et la connaissance des besoins de ce dernier nous permettent de complètement le cerner. 

La question fondamentale de la pérennisation des entreprises africaines est également une problématique qui lui tient particulièrement à cœur, d’ailleurs un thème lui est cher à cet effet : l’institutionnalisation. En gros, il cherche à faire comprendre que les grandes entreprises et multinationales présentes partout et dont l’identité de leurs propriétaires est inconnue parviennent à s’imposer naturellement, parce qu’on fait confiance à leur institution.   

Il aime bien rappeler un dicton qu’un sage disait : “rien n’est bon, rien n’est mauvais, c’est seulement l’usage des choses qui les rend vils ou nobles”, en d’autres termes, ce ne sont pas les projets en soi qui ne sont pas bons, mais plutôt ce qu’on fait des projets et qui les fait ? 

Dr GAKOU rend grâce en constatant qu’à peu près 300 personnes et leurs familles vivent grâce à ses entreprises et qu’également un bon nombre d’hommes et de femmes qu’il a eu à former sont devenus des célébrités, ou sont employés dans des entreprises et des institutions de la place chez qui il a un grand réseau de personnes sur lequel s’appuyer. Au-delà de cela, il intervient également dans l’industrie de la fabrication d’eau, mais également dans la mécanique avec les engins lourds, les forages et développe avec ses équipes un projet de garage moderne qui devrait employer à peu près 600 personnes d’ici à 5 ans. Il croit fermement au Real Estate, donc il travaille dans le même temps dans l’immobilier au Mali, au Sénégal et aux USA où siège sa compagnie de Real Estate. 

Selon lui, une ville comme Dakar par exemple devrait dépasser New York, puisque que tout est à faire et que l’Afrique regorge d’un potentiel extraordinaire.  

Enfin, le conseil qu’il prodigue aux jeunes entrepreneurs est le suivant : “quand on se lance dans l’entrepreneuriat, on cherche très souvent les moyens financiers. Mais si vous avez tout immédiatement, vous raterez le parcours de l’entrepreneur et vous allez juste profiter des avantages de votre haut poste. Donc, lorsque vous avez des fonds pour investir, il ne faudra pas hésiter à aller au charbon et à mettre la main à la pâte pour essayer de comprendre l’écosystème.” 

 

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