Éviter la sous-exploitation du marché , l’un des choses qui coûtent parfois très chère aux entrepreneurs ou chef de start-up, nous trainons sur des choses importantes ou oublions d’intégrer des aspects essentiels dans notre système d’exploitation. On ne se rend pas compte de ce qu’on est en train de perdre jusqu’à ce qu’on commence à faire la bonne chose. On perd du temps, on a du mal à rentabiliser, on n’arrive pas à atteindre les objectifs fixés. Voyons dans cet article comment éviter ces sous exploitation du marché qui nous empêchent d’atteindre les objectifs de chiffre d’affaires.
On ne fait pas tout ce que les meilleurs du marché font
Vous êtes par exemple que vous êtes une banque et que vos concurrents font de l’internet Banking tout le temps et vous ne le faites pas. Vous faites beaucoup de choses, mais vous ne faites pas ce que les meilleurs sont en train de faire, en conséquence vous n’arrivez pas à attirer du revenu substantiel. Les autres ont une longueur d’avance très important sur vous.
On fait tout ce qu’on faisait pour cartonner on perd les chiffres qu’on faisait et on laisse l’argent sur la table
Quand on n’a pas des campagnes de monétisation en place ou de saturation, nous sommes en train de laisser de l’argent sur la table. Parfois nous sommes de ces petites indélicatesses qui nous coûtent des mauvaises exploitations potentielles du marché.
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On n’anime pas les plans commerciaux et on espère que les choses vont se faire d’elles même
Après on semble surpris que les choses ne se passent pas comme nous avons prévu. Le résultat est logique parce qu’il n’y a pas eu d’animation, ni de formation, ni de coaching, il n’y a pas eu de challenges lancés pour encourager les collaborateurs à faire tout ce qu’ils doivent faire. On compte sur le fait que parce qu’on leur paie un salaire et que c’est leur travail ils vont le faire.
Pourtant en tant que chef on doit s’assurer d’animer les plans commerciaux, de porter cela pour qu’ils puissent délivrer de la valeur que nous attendons.
On démarre tardivement ce qu’on a prévu de faire et donc et cela crée de la perte de chiffres sur les mois de retard
La plupart des entreprises terminent leurs plans de l’année au mois de novembre. Mais c’est à partir du mois de mars que certains déploient véritablement le plan qu’ils ont beaucoup la fin de l’année écoulée. Et on ne se rend pas compte à quel point cela crée de la perte de chiffres. Parce qu’on est très lent dans le déploiement, dans la réflexion, dans les optimisations et cela coûte.
On attend un certain moment pour atteindre ou lancer les rythmes de croisière
Souvent on attend le second semestre pour se mettre à courir dans tous les sens. Et il y a des risques que les choses ne se passent pas bien. Il est très important de s’assurer d’être pragmatique et prévisionnel dans les actions. Si on laisse délibérément certains mois sans production réelle et suffisante, on finira par avoir du mal et on sera obligé de faire des choses parfois pas très recommandées pour réussir à avoir un bon atterrissage en fin d’année.
Propos recueillis par SUZANNE BATISTA