Le développement de toute entreprise dépend de l’efficacité de ses dirigeants. Un bon leader ou manager aide ses collaborateurs à évoluer. Il perçoit le potentiel de son collaborateur. Et l’aide à le découvrir et à se développer et à faire avancer l’entreprise. Alors qu’un mauvais manager peut être un véritable frein pour le développement d’une entreprise ainsi que pour la productivité des employés. L’entreprise aura du mal à concurrencer sur le marché si le dirigeant est passif ou agressif envers les employés. Découvrez ici comment distinguer un bon manager d’un mauvais :
Distinguer un bon manager d’un mauvais : Silence Vs Communication
Le mauvais manager ne fait jamais que des retours négatifs, voire pas de retour du tout. Ce qui empêche, en effet, les membres de son équipe de progresser. Il explique mal les attentes. Ne dis pas en quoi le projet est important ou pourquoi une tâche est plus urgente qu’une autre. Alors que le bon manager, lui, il propose des feedbacks réguliers, que ce soit de manière informelle ou plus cadrée, et il sait répondre aux questions et complimenter le travail bien fait.
Reconnaître un bon manager d’un mauvais : Contrôle vs Confiance
Des points et des rapports plusieurs fois par semaine, des logiciels d’évaluation du temps passé par tâche, un découpage millimétré, etc. Ne pas lâcher la bride à son équipe est l’un des défauts classiques du mauvais manager. Un bon manager, quant à lui, sait aussi mettre en place des outils de contrôle et rester au courant de l’avancement de chacun. La différence, c’est qu’il s’adapte. Il sait que certains ont besoin de deadlines régulières et d’être surveillés quand d’autres donnent de meilleurs résultats lorsqu’ils sont livrés à eux-mêmes.
Différencier un bon manager d’un mauvais : Répression vs Reconnaissance
Un mauvais manager a tendance à se tourner directement vers la punition et à s’attribuer les mérites du travail accompli, alors qu’un bon manager sait remercier et mettre en valeur ses salariés face aux collaborateurs. Certes, un bon manager se doit de redresser la barre en cas de comportement nocif ou de manque de productivité, mais dans l’idéal, c’est qu’il manie mieux la carotte que le bâton.
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Reconnaître un bon manager d’un mauvais : Incohérence vs Logique
La spécialité du mauvais manager consiste à réagir de manière différente face à deux situations semblables, à faire du favoritisme, ou encore à adopter un comportement disproportionné par rapport à un problème donné. Le bon manager en revanche fait preuve de logique et de cohérence dans le temps, sans préférence.
Distinguer un bon manager d’un mauvais : Ordre vs Adhésion
Un mauvais manager se voit forcé d’imposer ses décisions en usant ou abusant de son autorité, là où un bon manager est capable de convaincre l’équipe en lui expliquant en quoi le changement ou projet à venir est dans son intérêt. Donner envie plutôt que d’exiger !
Le manager reste un rouage clé pour beaucoup d’organisation. Il a un impact très fort sur leurs réussites ou leurs échecs, car il transmet, il accompagne, il engage. Il est essentiel de lui donner les moyens de s’améliorer et de mener à bien ses missions. Pour cela, la technologie peut-être d’une grande aide, pour rappeler les bonnes pratiques et mieux comprendre les équipes.
Un manager nocif, en fait, a souvent un impact négatif énorme sur une organisation. À l’inverse, le bon manager transforme votre organisation et vos collaborateurs. Et les embarque vers le voyage dont toute entreprise rêve : bien-être, succès et efficacité. Être bienveillant et engageant, rapporte, etc. On reçoit, en effet, habituellement au centuple ce que l’on a semé.
Voilà comment distinguer un bon manager d’un mauvais.
Suzanne BATISTA
